Bernard Maris, l'un des économistes les plus connus en France, chroniquer sur France Inter, et membre du conseil général de la Banque de France, a tout dévoilé dans un documentaire récent sur "La Dette" produit par Nicolas Ubelmann et Sophie Mitriani. Lorsque l'on lui pose la question "D'où vient l'argent que prêtent les banques?", sa réponse est stupéfiante:
Elles le fabriquent elles-mêmes avec l'autorisation de la banque centrale. Par exemple.... vous achetez un immeuble qui vaut ... €500 000. Et bien, la banque va fabriquer 500 000 euros, à partir de rien. Vous direz elle ne fabrique pas €500 000 de billets. Si - elle fabrique €500 000 de billets, qu'elle peut vous donner. Sauf que c'est une écriture, parce que vous n'allez pas chercher, pour payer votre immeuble, £500 000 en billets - vous le payez par chèque. Mais c'est la même chose. Si vous vouliez le payer en billets, elle vous donnerez £500 mille en billets qu'elle irait demander à la Banque Centrale, parce qu'elle dit - voilà, j'ai une créance sur Monsieur, qui vaut 500 mille euros, qu'est ce que vous donnez en échange? Et la banque centrale dit - je vous donne 500 mille euros en billets. Sauf que, comme ces billets ne sont jamais demandés, ça circule sous forme d'écriture. Mais il faut bien comprendre ça. Quand on a compris ça, on a tout compris à la monnaie. C'est que la banque fabrique à partir de rien de l'argent. C'est le métier du banquier. La banque crée ex nihilo de l'argent. Ça c'est quelque chose qui est très difficile à comprendre".
Une partie de plus en plus importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d'achat des biens créés pour elle.
Quelques individus ou groupes particuliers seulement en profitent honteusement.
Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, nous proposons un projet de loi d'application de monnaie-pleine selon les principes suivants:
I. Nous devons donc reprendre le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit en respectant le vrai principe de subsidiarité, soit d'abord pour les personnes, les familles, les communes, les cantons et en dernier ressort le fédéral. Il l'exercera par des commissions indépendantes jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre ses buts, notamment le bien commun à tous les niveaux précités.
II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit. Chaque échelon fournit régulièrement les statistiques nécessaires.
III. En tout temps l'émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un escompte compensé notamment aux producteurs de qualité ( sans obsolescences programmées ) rendus plus efficaces et dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.
IV. La BNS travaille pour le bien commun, comme une coopérative et chaque habitant de la Suisse y dispose d'un compte en francs suisses dès la conception alimenté notamment en fonction de la hausse de notre monnaie, des placements souverains, de la productivité des machines, robots, infrastructures, barrages etc... et des progrès techniques.
Soutenez la rédaction de cette loi suisse urgente encore en projet et modifiable, déjà amendée selon les conseils de M. Maurice Allais et de son équipe:
Pour une Suisse avec moins de dettes, d' impôts, de taxes, etc., grâce à la robotisation, en parallèle, sinon surtout grâce à une création modernisée de l'argent qui assurera ainsi la prospérité de tous.
État des lieux et inventaires des conséquences néfastes du système bancaire inadapté actuel :
1. Des centaines de milliers de Suisses intègres travaillent, mais vivent endettés sous le seuil de pauvreté. En parallèle, le Conseil fédéral rabote des Budgets à des postes pourtant prioritaires (santé, éducation, chômage, création d'emplois, relance, environnement, infrastructures, transports, réduction du nombre d'Ambassades et d'outils d'informations tel Swissinfo... à l'heure de crises et de l'isolement du Pays sur la scène internationale, suppression des bureaux de Poste et dégradation générale du Service public, Crèches, etc.) et répercute ses tâches sur les Cantons, donc Communes et de fait, les Familles, soit nous tous. Les Caisses de pensions sont de plus en plus vides et la cohésion nationale, sinon la solidarité sont partout remis en cause (Votation du 7.03. 2010).
2. Les "solutions" sont une nouvelle fiscalité sournoise (parkings, radars, nouveaux «délits» etc.), mais aussi la TVA, etc. qui pénalisent tous les citoyen(ne)s, ainsi que les PME en augmentant le chômage des jeunes et de collaborateurs à… plus de 15 ans de l’AVS.
3. Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent (notamment l’informatique et les robots de plus en plus nombreux et efficaces), produit une abondance de biens, en même temps qu'il réduit les besoins de main-d'oeuvre locale et augmente ainsi un chômage permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout travail et pouvoir d'achat des biens créés pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers d’industriels financiers, Banquiers et spéculateurs.
4. La crise de l'UBS et ses dizaines de milliards soustraits aux contribuables futurs ne révèlent pas seulement les graves dysfonctionnements du Conseil fédéral, après ceux de ladite Banque, mais de fait, de tout le système bancaire mondial et du pillage de tous les habitants et Pays de la Terre entière. En Europe : Islande, Grèce, Portugal. A quand la Suisse ?
5. La Confédération, ses Régies, etc., ainsi que les Cantons et leurs Communes, PME, etc. dont personnes morales et physiques (nous) dépensent chaque jour et au minimum des centaines de Millions CHF à titre d'intérêts... SANS amortissement et pour certaines dettes cumulées, etc. pour des montants représentant des multiples des emprunts initiaux! Ceci représente des centaines de Milliards CHF par an, qui seraient mieux utilisés pour le bien du Souverain.
6. FED & IRS (deux archétypes américains du dysfonctionnement systémique du taux d'intérêt conçu par les Banquiers et du «remboursement» autoritaire des dettes... par les Citoyen(ne)s surtaxé(e)s), «Too big to fail», Toxic Assets sont devenus des termes "familiers", à contrario du mécanisme pervers de la création monétaire qui nous asservit tous, partout et chaque jour davantage.
Ainsi :
- le système bancaire fabrique depuis trois siècles de l’argent à partir de RIEN et facture ce tour de passe-passe avec des taux d’intérêts, alors que l’État (nous les Citoyen(ne)s) pourrait l’émettre gratuitement et ainsi, distribuer équitablement les plus-values mensuelles à tous.
- A contrario du dogme officiel et de la Propagande économique, il faut savoir que le taux d’intérêt et les Banquiers créent l’inflation, sinon et surtout, des dettes non remboursables. Ces dettes exponentielles sont IMPOSSIBLES à rembourser. Des contrats impossibles sont nuls, d'autant plus que ces dettes sont créées à partir de rien, par astuce en bande.
- Les États endettés et sans réel pouvoir de décision actuellement abdiqué, répercutent leurs "remboursements" sans amortissement aux chers (sic!) Banquiers (une poignée de familles), sur nous tous.
- Ce système bancal, en crise systémique fut conçu dans l’iniquité et les Banquiers possèdent la Terre qu’ils gèrent à leur guise, avec la majorité des Chefs d’Etats aux ordres, notamment de la BM et du FMI.
Voulez-vous continuer avec vos enfants à être les esclaves des Banquiers et payer le prix fort de votre ruine, laissez-les donc continuer à créer l’argent ex nihilo (à partir de rien) et à contrôler les crédits. À l’opposé, de bonnes solutions existent et les voici :
Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage économique légué par leurs prédécesseurs, voici notre but, reprendre le contrôle de la création des masses monétaires (l'argent).
PRINCIPES
I. Le pouvoir de battre monnaie, y compris par le crédit ex nihilo, appartiennent au Souverain qui reprend le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit, sans intérêt.
Il. Il l'exercera à tous les échelons par des Commissions indépendantes locales COMMUNALES OU CANTONALES jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre ce but.
III. Les ressources financières, matérielles et intellectuelles de la Suisse représentées par les Citoyen(ne)s et leurs productions sont la base de la monnaie et du crédit.
IV. L'émission de la monnaie et du crédit devrait en tout temps se mesurer sur le mouvement de la production robotisée le plus possible de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un dividende et d'un escompte dont le taux variera nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production automatisée.
V. Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage économique légué par leurs prédécesseurs, les Commissions locales, communales ou cantonales versent un Dividende mensuel dont le montant sera déterminé par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, de leur conception à leur mort naturelle, qu'elle aie ou non des sources de revenus.
VI. Il est indispensable de définir socialement des remises à zéro périodiques sur 7 fois 7 périodes de tous les compteurs économiques, comme demandé dans le Lévitique ou les lois sur les propriétés intellectuelles (Copyright) et ainsi de réparer l'erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a condamné le taux d'intérêt, mais qui a oublié la remise des propriétés agricoles aux familles et le pardon jubilaire des dettes au moins tous les 49 ans. Concrètement, ceci signifie que grâce aux créations monétaires mensuelles, toutes les dettes seront effacées et toutes les terres agricoles seront franches de toute hypothèque au moins tous les 49 ans.
VII. Les anciennes masses monétaires en francs suisses tirées du néant (emprunts fédéraux, cantonaux, communaux, etc.) sont purement et simplement supprimées. Par contre, les vraies épargnes réelles des personnes physiques et morales sont respectées.
VIII. La BNS est directement placée sous le contrôle permanent - sans Commission externe indépendante de type FINMA - de l'Assemblée fédérale (Plénum), qui y consacre au moins un jour complet à chaque Session.
IX. Les réserves de la BNS qui garantissent un CHF (Franc suisse), indépendant et fort sont constituées d'or physique stocké qu'en Suisse, ainsi que des réserves de diverses graines alimentaires (avoine, épeautre, froment, maïs, orge, pommes de terres, riz, etc.), non OGM, consommables, plantables et à même d'assurer pendant 7 ans la subsistance de la Suisse.
X. Tous instruments juridiques étrangers, accords, conventions, traités, passés ou futurs qui iraient à l'encontre de cette Initiative ou qui viendraient à la violer sont à dénoncer immédiatement tant au plan cantonal que fédéral.
XI. Au vu des économies réalisées par la suppression de l’endettement et de ses conséquences, la Confédération supprime immédiatement tous les impôts fédéraux directs et indirects, notamment la TVA, la vignette et les droits sur l’essence.
XII. De même, les communes et les cantons pourront fortement réduire leur fiscalité et supprimer les taxations sournoises sous la forme de péages subtils pourtant interdit dès la Constitution de 1948.
Dispositions transitoires :
La Confédération crée une contribution de solidarité par des masses monétaires sans taux d'intérêts et les fait affecter à chaque famille en proportion du nombre d'enfants conçus.
Le produit de la contribution de solidarité sera versé aux Cantons selon une clé de répartition démographique définie par la Confédération représentée par l'Assemblée fédérale (Plénum).
L'écart des salaires tant publics que privés ne dépasse pas 33 fois, avec une limite absolue indexée fixée à CHF 500'000.-.
Tout dividende social ou autre prestation sociale n'empêche personne de travailler en plus contre rémunération ou en qualité d’indépendant, créateur d’entreprise, etc.
L'obligation de refinancer les prêts à 100 % auprès de la BNS reporte la perception des profits à ce niveau et les revenus ainsi fortement majorés sont directement affectés aux besoins communs.
Tout financement d'investissement à un terme donné doit être assuré par des emprunts au moins de même terme. Aucun emprunt à long terme ne peut être financé par des emprunts à court terme. Pour le bien commun, les points suivants sont notamment respectés :
Dissociation totale des activités bancaires et leur attribution à trois catégories d'établissements distincts et indépendants :
1) Banques de dépôts : encaissements, paiements, gardent les dépôts de leurs clients.
2) Banques de prêts : le montant global des prêts ne peut excéder le montant global des fonds empruntés.
3) Banques d'affaires : investissent dans les entreprises les fonds empruntés au public ou aux banques de prêts.
Indexation obligatoire de tous les engagements sur l'avenir : prêts, emprunts, salaires, etc. aussi bien entre particuliers, entreprises et État.
Interdire le financement des opérations boursières et de la spéculation par la création de moyens de paiement ex nihilo.
Augmenter les garanties en liquidités à 100 %, afin d'éviter les créations privées de monnaie ou quasi-monnaie ex nihilo.
Supprimer la cotation en continu et la remplacer par une seule cotation par jour pour chaque place financière et pour chaque valeur.
Supprimer les programmes d'achat/vente automatiques. Interdire la spéculation sur les indices et les produits dérivés.
Abandonner le système de changes flottants pour un système de taux de changes fixes mais révisables par une commission indépendante.
Interdire toute dévaluation compétitive.
Abandonner le dollar US $ comme monnaie de compte, d'échange et de réserve.
Etablir progressivement une unité de compte commune sur le plan international avec un système approprié d'indexation.
Interdire la spéculation aux banques sur les changes, les actions, obligations et produits dérivés.
Aucune puce, RFID ou un quelconque moyen de traçage ne peut être dissimulé dans la monnaie, quelque soit la forme de la monnaie( métallique, papier...).
Les méthodes alternatives de création monétaire (wir, jazz, reka, talents, billes, sels, etc.) sont admises si leur seigneuriage bénéficie à tous les utilisateurs de manière proportionnelle et égalitaire et sans nuire aux familles.
Conclusions :
« Il s'agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de tous les jours de millions de citoyens. Ces réformes indispensables n'ont été réalisées, ni même envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés de favoriser l'efficacité de l'économie, ni par les socialistes justement attachés à l'équité de la distribution des revenus… Les uns et les autres n'ont cessé d'être aveuglés par la répétition incessante de toutes parts de pseudo vérités et par des préjugés erronés. »
Maurice Allais, prix Nobel d'économie.
Tout ce qui est possible, apparemment légal n'est pas nécessairement bon pour le peuple et moral.
Ces créations monétaires du néant par les banques commerciales, "ex nihilo" en technique bancaire, violent la bonne foi et la réalité économique par un grave abus de la marque suisse, au contraire des francs wir, http://www.wir.ch/fr/ , qui reconnaissant honnêtement leur caractère privé. Les gens croient que ce sont des francs suisses mais c'est un pur mensonge et un viol de leur confiance. Ce sont de "faux" francs "suisses", un abus de langage et de titres. Le conseil fédéral écrit diplomatiquement "des substituts monétaires"... comme les points cumulus, les miles des compagnies aériennes, au risque des clients...
http://desiebenthal.blogspot.ca/2014/12/le-conseil-federal-suisse-admet-le.html
En récapitulation, on est face à des abus de confiance, de fausses représentations économiques, des comptabilités frauduleuses, des substituts astucieux de monnaie, donc de la fausse monnaie comme le reconnaît un prix Nobel, Maurice Allais, des complots financiers par astuce en bande, de la concussion et la corruption, des abus de biens sociaux...
Ces contrats sont iniques, odieux et impossibles à honorer, comme en Grèce, vu les exponentielles d'intérêts devenues verticales( 1+ i puissance le nombre des années ) donc nuls pour la plupart ( il faut distinguer ces créations folles de la vraie épargne )...
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/05/les-epargnants-premiers-perdants.html
Dissolution de la S.A. BNS
Vers une Coopérative citoyenne intégrale.
Vu la gravité des faits et du manque de respect absolu de la démocratie directe suisse par la BNS ( armes nucléaires, pollutions, comptabilités et investissements douteux, manque de transparence, réviseur KPMG de mèche, alignement sur l'OTAN et donc irrespect de la neutralité, trahisons des intérêts du pays en bandes organisées, formalisme excessif, violations de la Constitution, des lois, ordonnances et même de ses propres règlements...etc... etc... http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/02/viols-de-la-constitution.html ), nous proposons la fondation d'une Coopérative bancaire intégrale citoyenne et donc une dissolution de l'inique Société Anonyme BNS qui a prouvé ses forfaitures en direct notamment sur la vidéo ci-dessous.
Coopérative bancaire intégrale citoyenne avec:
Une structure familiale, communale, cantonale, et fédérale.
La fin des monnaies-dettes impossibles dans la durée. De simples écritures sans taux d'intérêts
Un compte au moins par personne.
Pas besoin d'ouvrir un compte coûteux dans une banque commerciale risquée.
Une sécurité totale
Une simplification
Une égalité totale
Une distribution automatique des créations monétaires en milliards de francs suisses aux personnes, ce qui relancera l'économie et les robots, nos esclaves modernes, par la robolution.
Unis, un pour tous, tous pour un !
Nous ne voulons pas autre chose que la vérité et la sincérité du bilan qui est imposée, à juste titre à toutes les personnes morales de droit suisse.
Nos demandes sont simples à comprendre pour toute personne de bonne foi. Malheureusement, elles semblent déranger des intérêts si bien camouflés qu'ils ne sont pas même lisibles pour ces fameux élus qui ont pourtant une responsabilité importante, celle des actionnaires majoritaires, accrue par le fait qu'ils représentent des collectivités publiques.
les enjeux sont pourtant de taille puisqu'il s'agit ni plus ni moins que de l'avenir de ce pays et surtout sa solidité structurelle en même temps que son indépendance à l'égard de puissances étrangères devenues dangereuses pour nous.
alors, une fois de plus je le leur dis
R E V E I L L O N S - N O U S ! ! ! !
Assemblée générale 2016 de la banque nationale suisse en vidéo, un mépris total de toutes les règles suisses ...
... peut soumettre au Conseil fédéral, à l'intention de l'Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.
Minutages des interventions: https://drive. google.com/file/d/0B- p0lmjLtiXzY1ZiMHRONi1QZERYdnJw U3NXdldneTJSUnVr/view?usp= sharing
Toutes les monnaies deviennent de la monnaie de singe, diluées par la création monétaire ex nihilo, du néant, des abus qui détruisent les économies. On tue les poules aux oeufs d'or, sic.
Grâce à monnaie pleine, on peut maintenant faire un projet de loi et y intégrer tout ce qu'on veut, y compris les détails du RBI et lutter contre les dérivés, çà vaut la peine d'y travailler immédiatement, dans les jours qui viennent Préparons un texte et discutons avec les parlementaires.
L'objectif des initiants est de limiter le pouvoir des banques commerciales.
STOP TOO BIG TO FAIL, TO JAIL, STOP BAIL IN, BAIL OUT
STOP AUX CHANTAGES DES " TROP GROS POUR TOMBER" "TROP FORTS POUR ÊTRE MIS EN PRISONS", STOP AUX VOLS LéGAUX DU SAUVETAGE DES BANQUES PAR LES FONDS D'éPARGNES OU DES RETRAITES OU ENCORE PAR LES IMPÔTS...
STOP AU JEU DU PILE OU FACE DE CERTAINS BANQUIERS QUI TRICHENT ET GAGNENT, à TOUS LES COUPS.. FACE, ILS GAGNENT, PILE ON PERD... DONC ILS GAGNENT, ET BEAUCOUP TROP, à TOUS LES COUPS ET SANS ABSOLUMENT AUCUN RISQUE...
Pour une Banque Nationale vraiment Suisse, BNS 3.0
Venez à l'AG de la BNS: pour une coopérative citoyenne intégrale
L'usure tue, rend malade, pousse aux suicides, aux drogues, aux divorces...
Le Conseil fédéral et la BNS préfèrent protéger quelques banquiers aux salaires, bonus, parapluies, parachutes indécents au lieu du bien commun des peuples suisses... Une grave erreur historique.
Il refuse de revenir à un système de monnaie pleine qui a fait ses preuves dans le passé pour continuer dans le nouveau système d'un casino mondial électronique et hasardeux. Il cite l'or comme valeur alors qu'il lutte en fait contre l'or.
Le Conseil fédéral rejette l’initiative «Monnaie pleine» sans contre-projet. Il nie la réalité avec notamment cette phrase.
"Ainsi, les banques commerciales ne pourraient plus octroyer de crédits financés comme aujourd’hui par des dépôts à vue (comptes courants)."
La réalité est exactement le contraire, ce sont les crédits qui créent du néant, EX NIHILO, en latin pour les "initiés", TOUTE LA MONNAIE QUI NOUS EST ALORS LOUéE à INTéRÊTS COMPOSéS ... Le franc suisse doit revenir aux suisses qui en sont les propriétaires, un propriétaire ne doit pas louer son propre bien, c'est du VOL au profit de quelques banquiers, politiciens et actionnaires...
Chers amis d'une BNS coopérative citoyenne à tous,
La BNS de papa, son symbole, St Martin qui donne la moitié de son manteau à un pauvre, l'autre moitié appartenant à l'empire...
Les actions de la Banque nationale sont cotées en Bourse. Des cantons, des communes suisses et des banques cantonales détiennent la majorité des actions. Le reste des actions est en mains de particuliers et d’entreprises. La Confédération ne possède aucune action.
La transformation de la BNS en une fédération de Coopératives Monétaires Cantonales et communales constitue certainement le plus sûr moyen de s’assurer d’une part que nous maîtrisons le flux d’émission et que celui-ci est assuré par la seule volonté du Souverain et en fonction de ses besoins propres.
Si vous voulez changer le système pour le meilleur, alors coopérez à cette loi
27 banquiers en prison.
Pour cacher la concentration voulue des économies, la destruction des PME-PMI, l'envolée du nombre des chômeurs et la destruction de pans entiers de nos industries à taille humaine (sic) !
Le contraire de la création de monnaie - la destruction de monnaie - existe-t-il? La destruction de monnaie peut s'expliquer d'une manière semblable à la création de monnaie. Un déposant décide de retirer son argent de son compte d'épargne et de le conserver en espèces. La banque en a toutefois prêté la majeure partie sous forme de crédit et n'en a gardé qu'un peu en réserve. Elle devrait par conséquent demander le remboursement du crédit qu'elle a accordé. Heureusement, le crédit arrive justement à échéance, et l'entreprise rembourse la banque en billets. La banque verse l'avoir à l'épargnant, et le crédit n'apparaît plus dans ses livres. La masse monétaire a été réduite du montant du crédit: il y a eu destruction de monnaie. |
Le naufrage est lent à apparaitre mais il est certain à terme.


UBS, une 3ème faillite ?
Faudra-t-il vraiment une 3ème faillite de l' Union de Banques Suisses pour que l'on comprenne la ruse et la cupidité maladive du système actuel ?
La première avec LTCM, la seconde avec les subprime, la 3ème peut être évités par
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/08/confessions-of- swiss-banker.html
Un banquier suisse, votre serviteur, explique en 3 minutes l'arnaque de la création monétaire, avec le Canada comme exemple.
Vidéo Facebook :
https://www.facebook.com/LePeupleEstRoi/videos/vb.152656254942354/398971633644147/?type=3&theater
Tiré de l'émission "Qu'est-ce qu'elle a ma girl" de becurioustv.com.
La suite de la démonstration est encore plus précise, particulièrement entre 10:00 et 13:00 !
La pression monte !
Résumé:
1. Pour éviter les politiques de rigueur destructrice et profiter de l'abondance rendue possible par les robots toujours plus efficaces, les moyens d'achat entre les mains de la population d'un pays doivent, en tout temps, être collectivement égaux aux prix collectifs à payer pour les biens consommables mis en vente dans ce pays; et ces moyens d'achat doivent être annulés lors de l'achat des biens de consommation.
2. Les crédits nécessaires pour financer la production doivent provenir, non pas d'épargnes, mais être de nouveaux crédits ex nihilo se rapportant à de la nouvelle production; et ces crédits ne doivent être rappelés que selon le rapport de la dépréciation générale à «l'appréciation» générale pour le bien de tous.
3. Vu la robotisation bonne en soi car libératrice, la distribution de moyens d'achat aux individus doit progressivement dépendre de moins en moins de l'emploi. C'est-à-dire que le dividende ou revenu de base doit progressivement déplacer les émoluments et les salaires.
Explications détaillées:
http://www.versdemain.org/articles/credit-social/une-finance-saine-et-efficace/item/trois-propositions-de-c-h-douglas
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Vix pervenit - Wikipedia, the free encyclopedia
https://en.wikipedia.org/wiki/Vix_pervenit
Vix pervenit: On Usury and Other Dishonest Profit was an encyclical, promulgated by Pope Benedict XIV on November 1, 1745, which condemned the practice of ...
3 commentaires:
Voilà le résultat de mon insomnie et de toute mes lectures au sujet du RBI.
Les slogans et le texte peuvent être repris (corrigé)en entier ou séparément pour la campagne du RBI. Je serrai à Geneve le 8 mars. Merci pour votre engagement et vivement que la campagne commence vraiment. J'ai discuté avec des personnes en vacances de tout les cantons de suisses romande et très peux sont au courant de cette votation.
"Jouer à la loterie est une utopie pour vous faire croire que votre chance existe.
Voter le 5 juin pour le RBI est votre droit de citoyens suisse vertueux, valeureux et visionnaires.
Appliquer la volonté du peuple est le devoir des politiciens que vous avez choisi pour vous servir.
83fr30 tout les jours du reste de votre vie ne libérerai pas votre esprit créatif et positif pour rendre à votre pays plus que ce qu'il a la possibilité de vous donner?
La Suisse sera comme très souvent un exemple pour les autres peuples.
La Suisse à toujours utilisé la matière grise à bon escient.
Le travail accompli par les Suissesses et Suisses depuis 1945 doit revenir aux Suisses. Non pas aux quelques personnes qui utilisent trop bien le système macroéconomiques.
Créer le 5 juin le RBI en Suisse libérera la nouvelle génération d'un système économiques mondiale en faillite virtuelle et bientôt réel.
Nos valeurs depuis 700 ans doivent nous aider à être encore une fois l'exemple de la démocratie mondiale.
Rejetons ce que nous craignons le plus.:La dette pour nos enfants.
Notre pays en à les moyens car nous sommes ça principale matière première. Les Suisses et Suissesses aiment les idées simples et pragmatiques. Le RBI en est le meilleure exemple pour les futures générations.
Le système bureaucratique de protection sociale actuelle est beaucoup trop compliqué et par à la faillite. En cause, ses frais de fonctionnement boulimiques et le monde du travaille en phases de révolution systémique. Un oui au RBI le 5 juin permet de faire une transition extrêmement efficace et indispensable à l'économie Suisse. Tout les partis politique vous dirons merci pour cette solution. La révolution pacifique par les urnes c'est votre choix, votre avenir et votre responsabilité et votre liberté. "
Raphaël Antonier
http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/06/suicide-assiste-et-euthanasie-active.html
On aura une forte inflation
Réponse:
L'inflation est une vieillerie, on peut surproduire de tout de moins en moins cher et on comble le trou entre pouvoir d'achat et les prix par les deux outils que sont le dividende et l'escompte compensé. De plus, on supprime l' autre inflation, la dilution monétaire de la monnaie de singe actuelle créée du néant par toutes les banques commercilae du monde. par la monnaie pleine.
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