Suite au Symposium international de la famille, des impasses de Davos aux solutions de Fribourg.
Une cinquantaine d'orateurs, provenant de dix-huit pays de
quatre continents et de six grandes religions, de diverses sensibilités
métaphysiques et politiques se sont réunis à Fribourg cette fin de
semaine. Grâce à cette grande diversité, les intervenants s'accordent à
reconnaître que les familles dans le monde entier sont menacées,
notamment par des pressions économiques et culturelles devenues
insupportables. Les preuves en sont nombreuses, il suffit de constater
l'éclatement des familles. L'actualité suisse nous propose le régime des
délais. De plus en plus de femmes se trouvent contraintes à un acte
irrémédiable, sous des pressions culturelles et économiques. Les familles
doivent s'unir pour favoriser une culture de la vie, notamment par une
révision fondamentale du système économique.
Premièrement, reconnaître financièrement le travail éducatif
des parents par un juste salaire familial.
Deuxièmement, toutes les familles ont le droit de choisir
l'école la mieux adaptée à leurs enfants, par des initiatives cantonales
pour le bon scolaire.
Troisièmement, la remise de la dette au tiers-monde et les
bulles spéculatives posent la question fondamentale de l'endettement et
de l'intérêt. La conviction de nombreux orateurs est que le système du
prêt à intérêt est une source d'exploitation et d'appauvrissement des états
et des familles, base de la société.
Quatrièmement, la réflexion a porté également sur la notion
actuelle de la propriété illimitée. Les orateurs ont posé la question du
jubilé traditionnel pour les fils d'Abraham qui remettent les compteurs
économiques à zéro tous les cinquante ans.
Cinquièmement, les propositions concrètes ont aussi été faites
pour un nouveau statut de la femme qui rééquilibre toute la famille, pour
que le travail des parents soit considéré dans le PIB et dans le calcul des
retraites, que la création monétaire et la fondation suisse solidaire soient
d'abord affectées aux familles, base indispensable d'un avenir
démographique.
Les participants étaient des dignitaires religieux, des
philosophes, pédagogues, médecins, économistes, mathématiciens, de
sciences exactes, mass media, historien, politiciens, poète, écrivains,
juristes, altesses princières, anthropologues, fonctionnaires
internationaux , hindous, juifs, chrétiens de toute dénomination,
musulmans.
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Actualité récente:
Voici la traduction de l'italien publiée par L'Osservatore Romano en langue française du 10 février:
Le pape recommande la fidélité à la parole donnée, au serment prêté, le refus de l'usure – "une plaie qui à notre époque également", une " réalité abjecte, capable de détruire la vie de nombreuses personnes", et "éviter toute corruption dans la vie publique, un autre engagement qu'il faut savoir pratiquer avec rigueur de nos jours également".
Lecture: Ps 14, 1-4a.5b
2° Ce système s'appuie sur la liberté absolue du travail, de la propriété et de l'échange, sur la reconnaissance doctrinale de l’intérêt individuel (égoïsme), comme moteur unique du travail économique et social, sur l'individualisme, sur l'idée de la productivité du capital et de l'argent, sur la considération de l'argent comme producteur général et suprême qui fructifie toujours.
Par suite de ce système, on sépare les moyens matériels du travail humain ; leur réunion économique s'opère par le crédit et on arrive à la capitalisation universelle.
3° Quelques-uns des effets de ce régime du crédit sont :
4. Rôle des pouvoirs publics.
Dans le domaine économique, le pouvoir public a d'abord les attributions relatives à l'administration des finances et des biens de l’État. Il s'agit ensuite
5. Régime corporatif.
1. La société est désorganisée ou, si l'on veut, elle n'est, suivant une parole royale très profonde, « organisée que pour être administrée ». Elle n'est plus un être vivant, mi chaque organe, autonome dans une juste mesure, joue un rôle et exerce une fonction elle est un mécanisme, composé de rouages plus ou moins ingénieusement assemblés, obéissant à une force centrale motrice toute puissante ; bref, elle est un automate et n'offre plus que l'apparence et l'illusion d'un corps animé. La cause de cette dissolution est dans la destruction des organismes, l'on pourrait dire des cellules sociales, qui composaient le corps vivant de la nation ; l'effet direct de cette pulvérisation a été partout, avec la prédominance d'un individualisme sauvage, le triomphe brutal du nombre s'incarnant dans le despotisme d'un seul ou d'une foule.
2. L'établissement du régime corporatif ne saurait être rceuvre de décrets « a priori » ; il faut, par les idées, les moeurs, les encouragements, les faveurs, l'impulsion efficace des pouvoirs publics et la reconnaissance légale d'un droit propre, préparer activement l'établissement du régime corporatif indispensable à l'ordre social, selon un plan général conforme à la nature des intérêts privés, en même temps qu'aux fins sociales dernières auxquelles il doit conduire.
3. L'on peut définir de la sorte ce régime : Le régime corporatif est le mode organisation sociale qui a pour base le groupe-
ment des hommes d'après la communauté de leurs intérêts naturels et de leurs fonctions sociales et, pour couronnement nécessaire, la représentation publique et distincte de ces différents organismes.
4. Le rétablissement de la corporation professionnelle est une des applications partielles de ce système.
5. Le régime corporatif, dans sa perfection, comporte l'union des maîtres et des ouvriers ; mais cette union, destinée à constituer le véritable, corps professionnel, peut être préparée par la formation de groupes distincts les uns des autres.
Les principes du régime corporatif et ses avantages :
1° La similitude des devoirs, des droits et des intérêts rapproche et groupe naturellement les hommes qui exercent une même fonction sociale.
Cf. MASSARD, li-Œuvre du Cardinal Mermillod, Louvain 41914).

Son Eminence le Cardinal Mermillod
(1824-1892)
https://drive.google.com/file/
https://www.facebook.com/LePeupleEstRoi/videos/ 465320713675905/?comment_id= 465742220300421&offset=0& total_comments=6
Un banquier suisse, votre serviteur, explique en 3 minutes l'arnaque de la création monétaire, avec le Canada comme exemple.
Vidéo Facebook :
https://www.facebook.com/LePeupleEstRoi/videos/vb. 152656254942354/39897163364414 7/?type=3&theater
Tiré de l'émission "Qu'est-ce qu'elle a ma girl" de becurioustv.com.
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